La comédie musicale Les 3 Mousquetaires sera de passage à Nantes du 19 au 21 mai. Nous les avons rencontrés il y a quelques mois au Vertigo sur l’Île de Nantes et, malgré la fatigue de la tournée, les 4 compères nous ont reçus très chaleureusement. Une énergie débordante que vous retrouverez forcément sur la scène du Zénith, tentez de gagner deux places en fin d’interview !
Lemon : Quel retour avez-vous suite à vos premières dates parisiennes ?
Olivier Dion : Honnêtement, nous n’avons eu que des bons retours, c’est très agréable et très encourageant ! C’était toujours un peu la folie à la fin du spectacle au Palais des Sports, beaucoup d’ovations notamment.
David Ban : Nous avons eu de très bons retours de la part de la presse sur nos dates parisiennes comme quoi c’était l’un des plus beaux spectacles de la rentrée.
Victoria Petrosillo : Le message de solidarité, fraternité est bien compris par le public.
David Ban : Un pour tous, tous pour un !
Est-ce que vous vous connaissiez avant Les 3 Mousquetaires ?
Olivier Dion : Deux mois avant oui, un an avant oui mais deux ans avant non ! (rires) Nous avons commencé à faire la promo du spectacle assez tôt avec David et Damien Sargue notamment. Nous avons donc appris à se connaître très rapidement.
David Ban : Avec Victoria, nous avons eu l’occasion de faire un concert pour une oeuvre caritative quelques mois avant le début de la tournée et ça avait « matché » directement. Avec Damien Sargue, nous nous étions déjà croisés dans le passé.
Dans le passé, avez-vous participez à une telle tournée ?
Megan Lanquar : Personnellement, c’est ma première grosse tournée.
Victoria Petrosillo : J’ai fait le Roi Soleil il y a dix ans avec un concept similaire en terme de tournée, les premières dates furent jouées à Paris puis en province.
David Ban : Il y en a plusieurs pour moi.. 1789, les amants de la Bastille, Flashdance… J’en ai fait une dizaine environ. C’est pourquoi je suis venu souvent à Nantes et je trouve que c’est une très belle ville et je suis fan de votre Éléphant ! Il y a une bonne énergie, c’est une ville très culturelle. Ils apprécient les spectacles et celui-là ne fera pas défaut. (rires)
Olivier Dion : J’ai fait une tournée similaire au Canada (NDLR Olivier Dion est d’origine québecquoise) et ici j’ai fait Danse avec les stars l’an dernier où nous avons fait la tournée des Zénith. Ce fut une très belle expérience !
Gardez-vous un contact régulier avec votre public ?
Victoria Petrosillo : Nous avons un contact physique essentiel avec notre public à la fin du show. Chaque soir, nous faisons monter des enfants sur scène. Nous cassons ainsi la « barrière » entre les artistes et le public. C’est unanimement notre moment préféré !
Olivier Dion : Nous sommes vraiment actifs sur les réseaux sociaux comme Twitter afin de garder contact avec notre public, c’est important. Par exemple ce matin j’étais en retard pour mon train et j’ai reçu des encouragements, ça fait toujours du bien d’avoir un soutien.
David Ban : Et puis Megan a une histoire d’amour avec un fan… (rires)
Parlez nous un peu des clips qui ont été tournés.
Olivier Dion : Nous avons fait des clips sur les premiers single. Le clip de « De mes propres ailes » a mis la troupe en avant, les danseurs y ont participé. C’est à partir de ce moment que la troupe entière a été intégrée.
Nous avons eu la chance de faire des beaux clips ! Le premier clip sur « Je t’aime c’est tout » a été tourné à Paris sur les bords de Seine. « Un jour » se déroule au lac de Guerlédan dans le Morbihan.
David Ban : C’est un lac qui se vide tous les 30 ans et le lendemain du tournage ils remplissaient le lac. Le décor du clip est vraiment exceptionnel.
Comment préparez-vous vos projets personnels pour la suite ?
Olivier Dion : Nous travaillons tous sur nos projets en parallèle lorsqu’on a le temps bien-sûr. La tournée nous demande quand même beaucoup de temps.
Victoria Petrosillo : Tout le monde est un petit peu en studio à côté, nous préparons la suite. Nous avons la chance de toucher près de 4000 spectateurs par soir, nous essayons de les emmener dans notre univers. Nous montrons ce qu’on sait faire en collectif mais également en soliste.